Souffrance et compréhension

MADEMOISELLE ANDRIOT

J’ai toujours senti qu’il n’y avait aucun pont, aucun langage commun, rien de commun entre un être qui ne souffrait pas et moi: les êtres qui ne souffrent pas sont pour moi des fantômes.

Henry de Montherlant,  Celles qu’on prend dans ses bras, in: Théâtre complet, Gallimard – La Pléiade, p. 812.

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Je souffre, tu souffres, il souffre. Nous nous comprenons.