by Lektürlich | Jul 27, 2013
Und nochmals Montherlant (pour gouter ou dégouter) aus den Carnets:
Ce n’est pas la réalité qui est vulgaire, c’est l’idéal.
Hübsch, nicht. Und typisch Selbstmörder erfindet er sich Gründe weiterzuleben (Cioran hatte das mal gesagt, nicht, dass der Selbstmörder sich am Sinn des Lebens erschöpft, weil er sich immer wieder neue Begründungen suchen muss):
4 septembre. – La chair n’est pas triste et je n’ai pas lu tous les livres.
Essentiell misstrauisch bleibt er, dem Geist ebenso wie dem Herzen gegenüber, nur die Sinne verschont er:
Tout ce qui est du coeur est inquiétude et tourment, et tout ce qui est des sens est paix.
by Lektürlich | Jul 27, 2013
Schreibt Henry de Montherlant (1895-1972) in seinen Carnets (vgl. Carnets XXXI, in: Essais, Bibliothèque de la Pleiade, Paris 1963, 1208):
Cet avocat me dit que, jeune, il n’aimait de défendre que les causes qui lui paraissaient justes; mais maintenant celle qu’il juge injustes.
Il me dit encore: “S’intéresser à des enfants, horribles quand ils seront grands; à des malades, horribles quand ils seront guéris; à des combattants, horribles quand ils seront redevenus civils; à des pauvres, horribles quand ils seront tirés d’affaires; à des inculpés, horribles quand on ne les persécutera plus.”
Aber dann muss man fairerweise auch zugeben, dass sich Montherlant mit 77 umbrachte, indem er eine Zyankali-Kapsel zerbiss und sich dazu in den Kopf schoss. Ein recht eigenwilliger und merkwürdiger Mensch also.
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